Les trois événements échafaudés par l’équipe de la multinationale panafricaine Zuloga group pour son lancement à Pékin en Chine, ont tenu toutes leurs promesses. Deux soirées de galas, les 23 et 25 avril, et une conférence de presse en présence des plus grands médias économiques et culturels du pays, le 28 avril dernier, ont eu lieu. Avec cette installation officielle de l’entreprise en Chine, menée de main de fer par l’ivoirienne Jeannine Ollo-Servat, c’est un véritable pont qui se dresse entre les chefs d’entreprises, hommes d’affaires chinois, et leurs homologues africains.
C’est ici à Pékin, en Chine, une ville qui s’ouvre de plus en plus au monde des affaires africains que se concrétise la coopération Chine-Afrique. Un partenariat économique et culturel qui est devenu une réalité au cours de la soirée Zuloga. Le 23 avril dernier, dans un grand palace pékinois, les nombreux investisseurs chinois présents dans la salle ont pu redécouvrir l’Afrique et ses immenses possibilités d’affaires dans le discours d’ouverture de l’ivoirienne Jeannine Ollo-Servat, présidente fondatrice du groupe. Elle a réaffirmé l’urgence de la création de Zuloga en Chine.
Invité à la deuxième soirée dédiée aux ambassadeurs et à leur épouse, le ministre des Affaires étrangères, Youssouf Bakayoko, est venu apporter le message de soutien de la Côte d’ivoire à l’initiative de Zuloga, déjà présente dans 8 pays en Afrique (Kenya, Niger, Côte d’ivoire, Ethiopie, Algérie, Cameroun, Afrique du Sud, Sénégal).
Le lendemain, le ministre et l’équipe de Zuloga ont visité le site « culture et art » encore en plein travaux, puis les locaux tous neufs de l’entreprise qui fera, dans ces bureaux, du consulting.
C’est par la conférence de presse qu’ont pris fin les festivités inaugurales des activités du groupe en terre chinoise. Zuloga, organise déjà l’arrivée très prochaine de Jean Ping, président de la commission de l’Union africaine. Avant cette date, la société, forte de son expérience d’intermédiation, n’attend plus que de faciliter, aux chefs d’entreprises et aux hommes d’affaires africains, l’obtention de contrats ou de financements en Chine, et vice versa.