Valérie Trierweiler, la compagne du président français François Hollande, est arrivée mercredi soir au Mali. Invitée par Minétou Traoré, l’épouse du président malien de la transition Dioncounda Traoré, la compagne de l’occupant actuel de l’Elysée a qualifié cette visite de 48 heures de « très beau symbole ». Elle consacrera sa visite à la cause des enfants, femmes et aux déplacés du Nord-Mali. La First girl friend devient ainsi la First lady.
Depuis l’affaire du tweet contre Ségolène Royal, Valérie Trierweiler a pris du galon. Elle a troqué sa vie de jeune fille pour endosser (enfin) les habits de la Première dame de la République française. Ainsi, elle est arrivée ce mercredi soir au Mali pour effecteur son premier voyage à l’étranger sans son président de compagnon, François Hollande.
A Bamako, Valérie Trierweiler s’est dite « très, très heureuse d’être là », et a indiqué qu’elle allait y « voir un certain nombre de choses sur le terrain ». Invitée par Minétou Traoré, l’épouse du président malien de la transition Dioncounda Traoré, la compagne de l’occupant actuel de l’Elysée a qualifié cette visite de 48 heures de « très beau symbole ». Elle consacrera sa visite à la cause des enfants, femmes et aux déplacés du Nord-Mali.
Trierweiler vole de ses propres ailes
Valérie Trierweiler n’était pas une inconnue de la scène médiatique. Et pour cause, avant d’arriver à l’Elysée, elle officiait en tant que journaliste pour le magazine Paris Match et collaborait pour la chaîne Direct 8.
La compagne du président Hollande s’est vraiment fait remarquer au moment des élections législatives de juin 2012. Lorsqu’elle a publié sur Twitter un message de soutien en faveur d’Olivier Falorny, l’adversaire de Ségolène Royal, ex-femme de l’occupant actuel de l’Elysée. Les médias francophones ont alors mis en exergue sa « jalousie maladive » et la presse anglo-saxonne l’a surnommée « The First girl friend ». Et pour cause : dans l’histoire de la Ve République, c’est la première fois qu’un président français n’est pas marié. Il s’en est suivi une cabale médiatique sur la personnalité de Valérie Trierweiler.
La compagne du président Hollande a fini par s’excuser, avant de définitivement rentrer dans le rang en acceptant de ne plus exercer ses fonctions de journaliste et de se conformer aux exigences de son titre pour ainsi devenir la First lady. Depuis, Valérie Trierweiler accompagne l’occupant actuel de l’Elysée dans ses déplacements à l’étranger. Ce qui lui vaut aujourd’hui sa première visite, seule sans son compagnon, au Mali.