À l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, la FIDH et ses 40 ligues africaines se mobilisent pour rappeler aux États les mesures qu’ils doivent prendre contre les violences sexuelles en Afrique.
Les violences sexuelles touchent les femmes chaque jour, partout dans le monde. La FIDH et ses partenaires s’engagent au quotidien pour y mettre fin. Pour cela, les États doivent être mis face à leurs responsabilités : ils ont le devoir, et les moyens, d’agir pour mettre fin aux violences faites aux femmes.
Pour en savoir plus, découvrez notre analyse et nos recommandations à la CADHP (Commission africaine des droits de l’Homme et des peuples).
Les violences perpétrées contre les femmes en Afrique sont multiples : mutilations génitales, mariages précoces et forcés, violences conjugales, crimes sexuels dans les conflits armés et violence politique. Pour y mettre fin, la FIDH a présenté son analyse et ses recommandations à la CADHP lors de sa 59ème session.
Dans cette note, la FIDH expose le contexte général de discrimination (en matière de droit de la famille, de sous-représentation dans la vie publique et politique, de violations des droits sexuels et reproductifs) dans lequel s’inscrivent ces violences. Elle donne également des
informations concernant les attaques subies par les femmes qui défendent les droits humains et les militant-e-s qui défendent les droits des femmes.
Engagez-vous pour les droits des femmes ! Signez la pétition [« Pour que naître fille ne soit plus un obstacle ».
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