Tunis – Paris par Flore


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Par Flore
Par Flore

En avion, deux heures à peine séparent Tunis de Paris, pourtant j’aurais tant aimé y arriver en bateau depuis la baie de Naples.

Le ballet vif des hirondelles, l’odeur des pralines, la gentillesse des passants, au voyageur qui débarque pour la première fois, rien ne laisse aujourd’hui deviner que le Printemps arabe s’est embrasé ici.

Photo : Adrian Claret-Pérez / L’Oeil de l’Esprit
Texte : FLORE /L’Oeil de l’Esprit

Lire l’article : Carnet de voyage : « Les vrais paradis sont les paradis qu’on a perdus », Marcel Proust

En avion, deux heures à peine séparent Tunis de Paris, pourtant j’aurais tant aimé y arriver en bateau depuis la baie de Naples.

Le ballet vif des hirondelles, l’odeur des pralines, la gentillesse des passants, au voyageur qui débarque pour la première fois, rien ne laisse aujourd’hui deviner que le Printemps arabe s’est embrasé ici.

Sa quête est nostalgique : l’artiste veut poser ses pas dans ceux des photographes du passé qui ont interrogé le monde avec leur appareil.

Photo : Adrian Claret-Pérez / L’Oeil de l’Esprit
Texte : FLORE /L’Oeil de l’Esprit

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LIRE LA BIO
Photographe franco-espagnole et fille du peintre Olga Gimeno, Flore est née dans le sud de la France en 1963. Pendant son enfance, sa famille s'installe à Alexandrie. Elle commence la photographie en 1977 et, après des études à Toulouse, s'installe à Paris où elle vit et travaille. Parmi ses œuvres remarquables notons la "Carte Blanche" de la Ville de Paris pour la création d'une série artistique sur le Petit Palais, Musée des Beaux Arts de Paris et son projet photographique sur le camp de concentration de Rivesaltes.
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