En avion, deux heures à peine séparent Tunis de Paris, pourtant j’aurais tant aimé y arriver en bateau depuis la baie de Naples.
Le ballet vif des hirondelles, l’odeur des pralines, la gentillesse des passants, au voyageur qui débarque pour la première fois, rien ne laisse aujourd’hui deviner que le Printemps arabe s’est embrasé ici.
Photo : Adrian Claret-Pérez / L’Oeil de l’Esprit
Texte : FLORE /L’Oeil de l’Esprit
Lire l’article : Carnet de voyage : « Les vrais paradis sont les paradis qu’on a perdus », Marcel Proust
En avion, deux heures à peine séparent Tunis de Paris, pourtant j’aurais tant aimé y arriver en bateau depuis la baie de Naples.
Le ballet vif des hirondelles, l’odeur des pralines, la gentillesse des passants, au voyageur qui débarque pour la première fois, rien ne laisse aujourd’hui deviner que le Printemps arabe s’est embrasé ici.
Sa quête est nostalgique : l’artiste veut poser ses pas dans ceux des photographes du passé qui ont interrogé le monde avec leur appareil.
Photo : Adrian Claret-Pérez / L’Oeil de l’Esprit
Texte : FLORE /L’Oeil de l’Esprit