La chanteuse ivoirienne controversée Tina Glamour a révélé qu’elle est assez célèbre aujourd’hui, pour avoir une certaine considération dans l’industrie musicale de son pays. La mère de DJ Arafat a soutenu qu’elle ne va plus être associée gratuitement à certaines activités en quête de visibilité. Elle a ainsi fait savoir que son droit d’image est estimé 200 000 FCFA, alors qu’elle devrait être au moins de 500 000 FCFA. Elle a d’ailleurs été soutenue par beaucoup d’internautes.
Tina Glamour fait parler d’elle. De plus en plus présente, ces derniers temps, dans les médias, la maman de DJ Arafat a encore fait une révélation sur son droit d’image dans l’industrie musicale ivoirienne. Contactée par les équipes de l’animatrice Yvidero pour une interview filmée, elle a poussé un coup de gueule, rappelant qu’elle était une grande star. Je n’aime pas le manque de respect et de considération. « Je ne t’ai rien demandé. Je suis dans mon coin. Laissez-moi en paix. Merci », a indiqué Tina Glamour à Yvidero.
« Yvidero, tu as demandé à ton attaché de communication de me contacter pour avoir une rencontre filmée avec moi au désaltero (son business). Je vous ai dit que le droit d’image est 200 000 FCFA sinon normalement c’est 500 000 FCFA. Là, vous me racontez des histoires à dormir debout au téléphone. Ne me dérangez plus quand vous n’êtes pas capable d’assumer ou si vous n’avez pas les moyens. Je ne suis pas votre marionnette. Je n’aime pas le manque de respect et de considération. Je ne t’ai rien demandé. Je suis dans mon coin. Laissez-moi en paix. Merci », a-t-elle publié sur les réseaux sociaux.
La mère de la « Chine populaire » a été soutenue par plusieurs de ses fans. « Trop raison, tu sais vendre ton image maman. C’est ça qui est la vérité », a dit Bénie de Dieu. « 200 000 FCFA, c’est même moins cher pour ton image. Tu as raison maman Tina », a fait savoir Noëlle Mbappé. « Maman Tina Glamour, ta remise est anormale, de 500 000 FCFA à 200 000 FCFA. Elle devrait vraiment s’en réjouir vraiment », estime Tito Alima Gamene Sedogo. « La djadja a encore frappé, vous aimez provoquer les gens hein. On dirait ça vous plais lorsqu’elle « dégame ». Maintenant voilà qu’une affaire de téléphone est arrivée sur la place publique », a déploré Marie Ngoran.
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