Succession de feu Wally Diawara : un escroc donneur de leçon


Lecture 4 min.
Oumar Diawara
Oumar Diawara

Droit de réponse aux diverses publications

Depuis plusieurs semaines et de manière quotidienne, les réseaux sociaux sont envahis par des pamphlets qui sont diffusés par un individu qui, a eu l’outrecuidance extrême, de vilipender, diffamer et insulter à vouloir, des Hautes Autorités de la République du Congo à savoir, le Ministre de la Justice et l’Inspecteur Général des Services Judiciaires ainsi que certains de ses Collaborateurs.

Mais également, les Hauts Magistrats de la Cour Suprême et ceux des autres Cours et Tribunaux, sans épargner certains auxiliaires de justice, notamment Notaires et Avocats, lesquels pourtant, dans la sphère de leurs attributions, jouent leur partition dans le cadre des causes qui leurs sont soumises.

Il est important d’indiquer, qu’au-delà du nom de Diawara que nous portons, nous avons la nationalité congolaise que nous chérissons et notre patrie le Congo nous a tant donné et en retour, nous lui devons respect et reconnaissance. Vous conviendrez qu’aucun patriote ne saurait tolérer cette infamie qui est portée à l’endroit des autorités judiciaires de notre pays.

Peut-on accepter de bon cœur que la République du Congo soit ainsi insultée et que ses institutions, notamment celles judiciaires soient jetées dans la boue par une personne qui s’estime être au-dessus des lois et règlements. Qu’il me soit ici permis, de vous présenter cet énergumène qui se permet de manquer du respect à tout un pays ainsi qu’à son système judiciaire afin que vous puissiez cerner et apprécier sa personnalité mieux, sa moralité.

Pour votre gouverne, par décision rendue en date du 02 décembre 2021, la Cour Criminelle d’Abidjan avait prononcé sa condamnation à 20 ans d’années d’emprisonnement et avait décerné à son encontre un mandat d’arrêt international. Ce même type, a été condamné courant août 2005 par la Cour Criminelle de Brazzaville, par contumace, pour des faits de faux et usage de faux avérés, abus de confiance et escroquerie. A ce jour, il n’a jamais exécuté sa peine.

Nous souhaiterions d’ailleurs, qu’il s’explique sur la question du détournement d’un navire de riz « NOVEL » en 2005, du détournement d’une cargaison de ciment en 2008 de la compagnie « CROSSBOW » mais aussi du détournement de 50 conteneurs d’huiles Végétales auprès de « LESIEUR Maroc ». Comment peut-on accorder du crédit à un individu au casier judiciaire totalement rempli et lui permettre de devenir donneur de leçons ?

Il est grand temps, pour l’opinion nationale et internationale d’ignorer toute la scène diffamatoire mise en place par Monsieur Oumar Diawara et, même à l’endroit, de ceux qui le soutiennent, de s’en débarquer conséquemment. En effet, il était content de la justice congolaise lorsqu’un des Magistrats instructeur se mettait à sa botte pour inobserver toutes les procédures applicables dans le cadre d’une information judiciaire.

Nous invitons Monsieur Oumar Diawara, ainsi que ses conseillers occultes, de repartir revoir leurs cours de procédure pénale afin de comprendre que la décision décriée rendue par la Chambre Pénale de la Cour Suprême quant au dessaisissement du Juge d’Instruction du 7ème Cabinet près le Tribunal de Grande Instance de Pointe-Noire au profit de celui du 4ème Cabinet d’Instruction près le Tribunal de Grande Instance de Brazzaville est conforme à l’article 585 du Code de procédure pénale.

Il sied de noter que le droit, nous devrions plutôt dire la Justice, n’est pas rendue sur les réseaux sociaux mais devant les Cours et Tribunaux et les voies de recours sont expressément prévues à cet effet. Nous nous réservons en ce qui nous concerne, d’engager toute action idoine en vue de restaurer notre image profondément écornée par les différentes publications acerbes faites à notre encontre.

Nous n’en doutons pas non plus que, les Hautes Autorités de la République dont la réputation et image ont profondément été ternies, ne manqueront pas d’actionner comme il se devra. Nous avons pour notre part confiance en la Justice qui est rendue au nom du peuple congolais et du double degré de juridiction, que les lois et règlements de la République nous garantis.

Nous tenions à vous en faire part à toutes fins, en sachant qu’au niveau de la succession de feu Wally Diawara des mesures ont été prises dans le sens du partage. Toutes autres joutes relèvent d’une profonde mauvaise foi, dont les seuls auteurs emporteraient l’entière responsabilité.

Newsletter Suivez Afrik.com sur Google News