Sidiki Diabaté rend hommage aux Lions du Sénégal (Vidéo)


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Sidiki Diabaté
Sidiki Diabaté

L’artiste malien Sidiki Diabaté renforce le lien entre les deux pays frères : le Sénégal et le Mali, en rendant un vibrant hommage aux Lions de la Téranga, qui viennent de remporter leur premier titre de champion d’Afrique des Nations. Il a ainsi chanté la combativité, la bravoure et le fighting spirit de cette formation sénégalaise, qui y a cru jusqu’au bout. Il a été accompagné par un compatriote Baba Niamé Camara, qui est parolier.

Le Sénégal est le « nouveau king d’Afrique » depuis dimanche dernier. Toujours en phase avec l’actualité du continent, le jeune artiste malien Sidiki Diabaté, a tenu à rendre un vibrant hommage aux Lions de la Téranga. La chanson « Champions d’Afrique, Les Lions de la Téfranga », sortie après le premier sacre du Sénégal, a aussitôt enflammé les réseaux sociaux. Elle est devenue comme une hymne pour le succès de la bande à Sadio Mané.

« Je suis Sénégalais, mais le Mali est mon deuxième pays de cœur. J’aime ce peuple à tel point que j’ai même appris l’hymne national malien. J’espère bien pouvoir visiter le pays un jour. Vive le Sénégal et vive le Mali. Un Peuple-Un But-Une Foi », a commenté un internaute sénégalais répondant au pseudo « Flemme ». « Mali et Sénégal, même peuple, mêmes ancêtres, même drapeau vert, jaune et rouge. Que Dieu Tout-Puissant nous réunit tous. Vraiment je suis très content de notre union Mali-Sénégal », a fait savoir Magaye Gaye.

« Fier de vous frères Maliens. Nous la jeunesse sénégalaise on doit profiter de cette occasion pour demander à nos autorités de rouvrir la frontière sénégalo-malienne. Nous sommes le même peuple », a recommandé Souley Ly. « Merci Sidiki ça a fait vraiment boooomm, on ne pensait même pas que tu préparais quelque chose pour le peuple sénégalais. Merci d’avoir pensé à nous… C’est l’Afrique qui gagne », a dit Jeanne Faye. « Merci beaucoup pour ce plaisir. C’est l’Afrique qui gagne. C’est l’histoire qui nous unit. Fédération du Mali », a rappelé Mamadou Guèye.

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