C’est un cri du cœur lancé par Bruno Favier, le président de l’association France Parkinson, qui a choisi l’occasion de cette journée mondiale dédiée à la maladie pour signifier que « l’immobilisme et le mutisme des pouvoirs publics plongent les malades dans un profond désarroi ».
C’est un cri du cœur lancé par Bruno Favier, le président de l’association France Parkinson, qui a choisi l’occasion de cette journée mondiale dédiée à la maladie pour signifier que « l’immobilisme et le mutisme des pouvoirs publics plongent les malades dans un profond désarroi ».
À l’occasion de la journée mondiale consacrée à cette maladie neurodégénérative, Bruno Favier dénonce un manque de moyens financiers et humains pour la recherche et une prise en charge insuffisante de la maladie qui touche 150 000 personnes en France. Pour lui, « l’immobilisme et le mutisme des pouvoirs publics plongent les malades dans un profond désarroi (…). A travers cette inertie, on injurie les malades et leurs proches, on nie leurs souffrances, on nie leur existence » .
Cette affection chronique, due à un manque de dopamine dans le cerveau, est la deuxième maladie neurodégénérative après l’Alzheimer et la deuxième cause de handicap moteur après les accidents vasculaires cérébraux. Suffisant pour que France Parkinson choisisse comme mot d’ordre : « Ensemble, libérons le mouvement », à l’occasion de son trentième anniversaire.