L’univers du rap français est dominé par de grosses voix comme Youssoupha, Booba et autres. Mais depuis quelques années, Ninho bouscule la hiérarchie par ses nombreux exploits. Aujourd’hui, le rappeur a encore frappé en glanant une nouvelle distinction. Il est en effet devenu le jeune rappeur le plus riche de YouTube.
Ninho : plus de 2 milliards de vues sur YouTube
De son vrai nom William Nzobazola, Ninho est un rappeur français. Depuis la sortie de son premier album « Comme prévu », en 2017, l’artiste chanteur enchaîne les succès malgré sa jeunesse. Comme le dit un proverbe, « Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années ». Ninho en est l’illustration parfaite. Après avoir enchaîné des tubes qui ont contribué à le rendre encore plus populaire, Ninho vient de s’offrir une nouvelle distinction.
En effet, sur sa chaîne YouTube, le rappeur et auteur-compositeur vient de passer le cap des 2 milliards de vues. Du haut de ses 25 ans, le jeune rappeur français vient de s’offrir une place précieuse sur le podium du rap français. Il devient ainsi le plus jeune rappeur francophone à atteindre ces chiffres.
Cet exploit, il l’a réalisé avec seulement 69 vidéos. Cela montre sans doute à quel point l’influence de Ninho ne cesse de gagner du terrain. Les clips phares qui lui ont permis d’atteindre en si peu de temps ce chiffre sont : « Mamacita » (132 millions), « Maman ne le sait pas », une collaboration avec Niska (104 millions), « Dis-moi que tu m’aimes » (84 millions) et « Goutte d’eau » (64 millions).
Ninho fait désormais partie d’un cercle très fermé
Le rappeur français Ninho vient une fois encore de prouver qu’en travaillant sans relâche, on peut accomplir de grandes choses. En effet, en atteignant les 2 milliards de vues sur YouTube, l’artiste fait son entrée dans le cercle restreint des rappeurs ayant obtenu le milliard de vues. Il s’agit de Maître Gims, de Jul, de Booba et de PNL.
Par cette nouvelle performance, le jeune rappeur montre qu’il veut s’installer dans un domaine déjà très concurrentiel.
