L’actrice syrienne Mona Saber, dans une vidéo diffusée sur Instagram lance un appel de détresse, notamment au roi Mohammed VI, afin que le souverain recadre la chanteuse marocaine, Dounia Batma qui, selon elle, lui rend la vie difficile.
Mona Saber est désarçonnée et au bout du rouleau. Depuis le mariage de Dounia Batma avec son ex-mari, Mohamed Al Turk, elle n’a jamais cessé de dénoncer la présumée mauvaise influence de sa « rivale » sur ses enfants. Dans une vidéo diffusée sur Instagram, Mona Saber a ainsi lancé un appel de détresse au roi Mohammed VI.
La relation entre Mona Saber et sa « rivale » Dounia Batma, est de plus en plus tendue. Dans cette histoire familiale, le roi du Maroc, Mohammed VI, est même sollicité, pour pouvoir jouer les bons offices et mettre les points sur les « i ». En faisant une vidéo diffusée sur Instagram, c’était l’essentiel du message de Mona Saber.
« Je lance un appel au peuple marocain, aux avocats présents sur les terres marocaines, et je sollicite le roi Mohammed VI afin de venir en aide à une femme qui a tant enduré, une femme harcelée et privée de ses enfants par des gens sans scrupules », a déclaré Mona Saber, qui semble troublé depuis le mariage de Dounia Batma avec son ex-mari, Mohamed Al Turk.
En effet, rapporte un média marocain, une polémique avait éclaté depuis que l’actrice syrienne avait été poursuivie en justice par sa propre fille, la jeune chanteuse Hala Turc. Jusqu’à présent, les motivations du requérant n’ont jamais été divulguées au grand public.
La même source ajoute que la relation entre Mona Saber et sa « rivale », la chanteuse marocaine Dounia Batma, n’a jamais été au beau fixe et se détériore de jour en jour. Mona Saber n’a jamais cessé de dénoncer la présumée mauvaise influence de sa « rivale » sur sa fille, en la manipulant et en l’induisant en erreur, relève Bladi.
À rappeler que la chanteuse marocaine Dounia Batma a également maille avec la justice, dans l’affaire « Hamza mon bb ». Elle et sa sœur Ibtissam, ont été condamnées respectivement à 8 et 12 mois de prison et à une amende de 10 000 dirhams chacune (607 041 FCFA). Les prévenues sont poursuivies pour « participation à l’accès frauduleux au système de traitement informatique des données et diffusion d’images et de déclarations d’autrui sans son consentement, dans le but de nuire ou de diffamer ».