Il ne fait aucun doute que Master KG nage dans le bonheur après sa tournée en rapport avec sa chanson à succès « Jerusalema ». Mais, l’artiste Sud-Africain pourrait profiter encore plus de sa chanson, car son label tirera certainement profit de toutes les maisons de disques qui ont utilisé le « challenge Jerusalema » à travers le monde.
Le riche producteur Master KG est responsable du phénomène mondial qu’est le « Jerusalema Challenge », au milieu de la pandémie de Covid-19. L’artiste sud-africain qui nage aujourd’hui dans le bonheur, pourrait profiter davantage de sa chanson, car son label tirera certainement profit de toutes les maisons de disques qui ont utilisé le « challenge Jerusalema » à travers le monde.
« À mon avis, Master KG est en train de devenir gourmand, je veux dire que ladite chanson a fait danser le monde et parfois c’est lui qui tweetait et faisait la tendance de la chanson », a indiqué un tweet. Ces sentiments surviennent après qu’il a été révélé que la maison de disques de Master KG allait s’en prendre à toutes ces grandes entreprises qui ont profité de sa chanson à succès « Jerusalema Challenge ».
« Eye Witness News » s’est entretenu avec l’avocat d’Open Mic Productions, Dumisani Motsamai, qui leur a dit que ces grandes entreprises profitaient du travail acharné de Master KG et Nomcebo Zikode. Il a excusé les personnes qui ont participé au défi juste pour tuer du temps ou à cause de l’ennui, cependant, de nombreuses entreprises les utilisent pour leurs propres gains.
« J’ai vu des marques où vous voyiez un drone montrant une vue de la cour d’une entreprise, puis vous verrez leur atelier, ils distribuent des produits, ils s’assurent de vous donner une image de chaque produit qu’ils vendent. La chanson joue en arrière-plan. Comme elle joue en arrière-plan, j’ai maintenant un intérêt à voir ce que fait cette société en particulier », a-t-il déclaré à la publication.
Il a également ajouté : « Il y a eu une ligne fine. Certains d’entre eux montreront peut-être leur logo au début et tout est question de danse. Mais certains d’entre eux, quand vous les regardez, tout dépend de la marque, de l’entreprise qui relève le défi et peu du challenge. Si le défi est relevé et que quelqu’un danse avec sa famille, individuellement, et n’a rien à voir avec l’approbation de la marque, cela n’a rien à voir avec l’utilisation de la chanson pour promouvoir une marque en particulier et la mettre en face des gens avec la chanson en arrière-plan, alors c’est bien ».
