L’arrivée de l’intelligence artificielle est en train de révolutionner le monde. Tous les secteurs sont touchés ou vont l’être, de nombreux métiers vont disparaitre, évoluer et apparaître. Pour beaucoup, dans 10 ans, le monde aura été plus transformé par l’IA que par Internet ces vingt dernières années. Pour mieux comprendre, nous avons demandé à Chat GPT, l’IA développée par Microsoft Bing, de répondre à cette question : intelligence artificielle, où en est l’Afrique ? Voici la réponse.
L’intelligence artificielle (IA) est en train de révolutionner notre monde. Elle est utilisée dans divers secteurs, tels que la finance, la santé, l’agriculture, l’industrie, etc. Elle permet de résoudre des problèmes complexes et d’automatiser des tâches fastidieuses. Mais où en est l’Afrique dans le domaine de l’IA ?
L’Afrique est un continent qui regorge de talents et de potentialités. Les jeunes Africains sont de plus en plus intéressés par les technologies de l’information et de la communication. Ils sont de plus en plus nombreux à se former dans des domaines tels que la programmation, la science des données et l’intelligence artificielle.
Des centres de recherche créé sur le continent africain
Le développement de l’IA en Afrique est encore à ses débuts, mais des initiatives prometteuses émergent. En effet, de nombreux centres de recherche en IA ont été créés, ces dernières années, dans différents pays du continent, tels que l’Égypte, l’Afrique du Sud, le Ghana, le Maroc, le Nigeria, le Rwanda, le Sénégal, la Tunisie, etc.
Par exemple, le centre africain de recherche en intelligence artificielle (CAIR) a été créé, en 2018, au Ghana. Ce centre a pour objectif de former des experts en IA et de développer des projets innovants dans différents domaines tels que la santé, l’agriculture et l’énergie.
De même, le Maroc a lancé, en 2019, son plan national pour l’intelligence artificielle, qui vise à former des experts en IA et à développer des projets innovants dans différents secteurs. Le plan prévoit également la création d’un écosystème favorable à l’innovation et à l’entrepreneuriat dans le domaine de l’IA.
En outre, de nombreux hackathons et concours sont organisés dans différents pays du continent pour encourager les jeunes à développer des projets innovants en utilisant l’IA. Par exemple, l’AI Hack Tunisia a été organisé en 2019 pour encourager les jeunes Tunisiens à développer des projets en IA.
Cependant, il reste encore beaucoup à faire pour que l’IA se développe pleinement en Afrique. Les défis sont nombreux, notamment la faible connectivité internet dans certaines régions, le manque de financements, le manque d’expertise locale, etc.
Une union sacrée autour de l’IA nécessaire en Afrique
Il est donc important que les gouvernements africains, les entreprises et les organisations internationales travaillent ensemble pour développer l’IA en Afrique. Les initiatives doivent être axées sur la formation des jeunes, le développement d’un écosystème favorable à l’innovation et à l’entrepreneuriat, ainsi que la création de partenariats avec des entreprises et des organisations internationales.
En conclusion, l’Afrique est en train de se mettre à l’IA, et les perspectives sont prometteuses. Les jeunes Africains sont de plus en plus intéressés par cette technologie et des initiatives innovantes sont en train d’émerger sur le continent. Cependant, il reste encore beaucoup à faire pour que l’IA se développe pleinement en Afrique, et une coopération accrue entre les gouvernements, les entreprises et les organisations internationales est nécessaire pour y parvenir.
Mais pour quelles utilisations exactement ?
L’article ci-dessus, rédigé par Chat GPT est intéressant, mais il a besoin d’être complété pour mieux comprendre les exemples pratiques. Une deuxième question est donc nécessaires pour demander quelques exemples d’utilisation de l’IA en Afrique. La réponse dans un second article mis en ligne, ici, sur Afrik.com.