L’actrice et entrepreneure de Kumawood, Tracey Boakye, a enfin clarifié la question de savoir qui est le vrai «Papa No». S’exprimant dans une interview avec Ohemaa Woyeje sur Y’adwumanie d’Angel FM, elle a révélé que le célèbre «Papa No» n’est pas un politicien comme on le dit.
« Le Papa No, n’est pas un politicien, mais il est très riche. Il n’est pas non plus le mari de quelqu’un, sinon je ne serais pas resté avec lui. Quiconque prétend que je suis sortie avec un homme marié a menti », a déclaré la sulfureuse du jetset ghanéen, Tracey Boakye. Elle a précisé que son «baby daddy» (bébé papa) n’était pas l’ancien Président John Dramani Mahama, comme indiqué précédemment. « Ce n’est pas possible. Si quelqu’un n’est pas votre amant, comment pouvez-vous avoir un enfant avec lui ? La personne doit d’abord être votre petit ami », a-t-elle fait savoir.
Selon Tracey Boakye, le problème qui circule sur les réseaux sociaux à propos du «Papa No», est un stratagème des politiciens pour ternir le nom de John Dramani Mahama, président de a République du Ghana du 24 juillet 2012 au 7 janvier 2017 et candidat pour la prochaine élection présidentielle, du 7 décembre 2020. Elle a dit que tous ceux qui prétendaient avoir des vidéos d’elle et de «Papa No», sont des menteurs et a en outre défié quiconque ayant des images de les faire sortir.
Tracey s’est par ailleurs vantée de ses réalisations à son jeune âge. « À 21 ans, lorsque nous sortons du plateau, je pars sur mon site pour acheter du ciment pendant que mes collègues font leurs courses. Je n’oublierai jamais quand ces dames m’ont dit que je ne devrais pas prendre la peine de construire une maison parce qu’un homme m’épousera et me ramènera à la maison », a indiqué Tracey Boakye.
Dans le même temps, l’actrice, qui a récemment été dans les médias pour des déclarations controversées, dit qu’elle est productrice depuis 8 ans maintenant. Elle a décrit ce qui suit comme des films qu’elle a produits : «Ama Saman», «Die Young», «The devil between my legs», parmi une foule d’autres avec «Baby Mama», étant le dernier.