La condamnation à mort du meurtrier de la fille de la chanteuse marocaine Laïla Ghofran a été appliqué ce jeudi. Il avait été déclaré coupable en 2010.
Le meurtrier de la fille de la célèbre chanteuse marocaine Laïla Ghofran, et de son amie, tuées en novembre 2008, a été pendu ce jeudi en Egypte. Désigné coupable par la justice, ce dernier avait, selon les enquêteurs, pénétré dans l’appartement de Heba Al-Akkad, la fille de la chanteuse, situé dans un quartier résidentiel du Caire, avec l’intention de voler de l’argent. Mais le voleur s’est muté en tueur, puisqu’il a poignardé la jeune fille âgée de 23 ans et l’une de ses amie présente ce jour-là, Nadine Gamal.
Les corps des deux amies s’étaient vidés de leur sang avant qu’elles n’aient pu être transportées à l’hôpital. L’homme avait été condamné à mort en 2010, suite à son procès.
Laïla Ghofran est une célèbre chanteuse dans le monde arabe. Elle avait débuté sa carrière dans les années 1980 en Egypte et avait réussi à s’imposée comme l’une des ambassadrices de la chanson arabe. La mort de sa fille avait plongé la chanteuse dans une tristesse profonde et avait choqué les Marocains et les Egyptiens. Dans la vidéo ci-dessous, elle est l’invitée d’un talk-show pendant lequel elle livre sa tristesse.
Le retour de Laïla Ghofran
Après cinq années d’absence, la diva marocaine Laïla Ghofran, de son vrai nom Jamila Abou Amrat, entend se relancer dans la chanson marocaine. Elle souhaite reconquérir le cœur du public marocain. Son prochain single sera donc chanté en marocain.
La chanteuse aurait chargé son manager, Mohamed Moufid Abba Sbai, de lui trouver un parolier, compositeur et arrangeur, ainsi qu’un réalisateur pour le vidéo-clip de sa nouvelle chanson dont le lancement est prévu pour cet été.
La chanson « Asahelhalak » est l’un de ses succès :