Le site Djazaïr 2003 est la vitrine cybernétique de l’Année de l’Algérie en France. Toutes les informations concernant les temps forts de la manifestation y sont consignées. Ainsi que des renseignements sur le pays lui-même.
L’alléchant programme culturel de l’Année de l’Algérie a été officiellement dévoilé mercredi au cours d’une conférence de presse à Paris qui a réuni quelque 600 invités. Y étaient présents les ministres des Affaires étrangères algérien et français, Abdelaziz Belkhadem et Dominique de Villepin et les ministres de la Culture des deux pays, Jean-Jacques Aillagon et Khalida Toumi. Ainsi qu’Hervé Bourges, le président de l’Année de l’Algérie en France et nombre d’autres personnalités du monde politique, artistique et journalistique.
Le site Djazaïr 2003 offre déjà une vitrine des futurs temps forts. » Le site évolue quotidiennement. La rubrique » Actualités » propose plusieurs articles par semaine et celle de » Ceux qui font l’année « , présente les personnes qui ont un projet. Courant 2003, nous suivrons de près tout ce qui se passera « , indique Nicolas Quiénot, chef de projet de Djazaïr 2003, et également webmestre d’Afrik.com. Le site a d’ailleurs été étudié pour être actualisé promptement.
Esthétique et pratique
La version actuelle, et définitive, du site, qui a demandé plus de six mois de travail, est basée sur une esthétique qui reprend le code couleur du logo officiel. Toutes les rubriques sont déclinées autour du jaune, bleu, rose et noir. En plus du suivi des événements, le site propose aussi de » découvrir l’Algérie » à travers de courtes rétrospectives sur l’Histoire, le patrimoine ou encore la création contemporaine.
Le site a pour but d’être informatif, convivial et maniable. » Il y a plusieurs types de navigation possibles. On peut faire une recherche par ville, par date ou par thème, si on s’intéresse plutôt au cinéma, au théâtre ou au design par exemple « , précise Nicolas Quiénot. Un petit détour par Djazaïr2003 permet d’ailleurs de prendre conscience de l’engouement de tous pour l’Année de l’Algérie de France. Plus de six cents projets y sont déjà présentés.