En Côte d’Ivoire, outre le fait de semer la terreur dans Yopougon, en frappant notamment dans les bars et aux abords des boîtes de nuit, les microbes ont changé de stratégie en attaquant suivant des jours et lieux de précis.
Nouvelle trouvaille des agresseurs appelés « microbes » en Côte d’Ivoire. Outre le fait de semer la terreur dans Yopougon, en frappant notamment dans les bars et aux abords des boîtes de nuit, les microbes ont changé de stratégie en attaquant suivant des jours et lieux de précis.
Selon Koaci, leurs nouvelles victimes sont les personnes qui viennent assister nuitamment aux cérémonies funéraires, les mercredis, jeudis, vendredis et samedis, à la place CPI, entre la Sicogi et la Semer. Quasiment, à chaque cérémonie funéraire, la bande d’agresseurs commet des forfaits. Ce sont des vols où des agressions commis par de jeunes délinquants. Par exemple, à la place Ficgayop, les microbes sont rôdent aux abords des bâches, se muant en spectateurs, guettant la moindre occasion pour lancer l’assaut.
Profitant de l’obscurité, les bandits, qui se dissimulent souvent parmi les clients des maquis aux alentours, se tiennent prêts à se jeter sur le première proie facile. Soit c’est le sac à main qui est arraché, soit le téléphone portable.
Suffisant pour que les populations lancent un avertissement à l’endroit de ceux qui viennent prendre un pot au maquis lors des funérailles.
A la place CPI, les proies faciles ont surtout ceux qui partent se soulager dans les couloirs du quartier. En effet, postés à ces endroits, les microbes passent facilement à l’acte, souvent sous le regard impuissant des passants impuissants, relève Koaci.