En Côte d’Ivoire, des ossements humains ont été retrouvés aux abords de la forêt sacrée du village de Kohounkro, située à quelque sept kilomètres de Sakassou. Une enquête a été ouverte.
Découverte macabre en Côte d’Ivoire où un habitant de Kohounkro, a retrouvé des ossements humains aux abords de la forêt sacrée du village de son village situé à quelque sept kilomètres de Sakassou. Selon la presse ivoirienne, l’homme est tombé sur les ossements humains alors qu’il était à la recherche de champignons.
Selon l’Agence de presse ivoirienne, mis au courant de la macabre découverte, le chef du village a dépêché une délégation, qui a découvert sur place, une corde suspendue à un arbre et les restes des habits de l’individu. En outre, une carte nationale d’identité du nom de Kouakou Yao Denis, a été retrouvée sur les lieux.
Les premiers éléments de l’enquête ouverte par la gendarmerie de Sakassou ont révélé que l’homme, originaire du village de N’Zokossou, à six km de Kohounkro, est porté disparu depuis deux ans. Ce n’est pas la première fois qu’une découverte de ce genre est faite en Côte d’Ivoire. De pareils faits semblent même récurrents.
En effet, le 13 janvier 2020, une fosse commune contenant des restes humains avait été découverte, à proximité de la clôture du Lycée Moderne 1 de Man. La découverte avait été faite au cours de l’exécution des travaux de bitumage de l’axe préfecture de Man. Il avait été dénombré 20 corps à partir de la reconstitution des ossements. Etait-ce les résultats des violents affrontements, lors des différentes crises qu’a connues la Côte d’Ivoire ?
Par ailleurs, le vendredi 26 juillet 2019, les corps sans vie de 25 bébés ont été découverts dans le cimetière de Gagnoa, une ville de Côte d’Ivoire, située à 230 km au nord-ouest d’Abidjan. Les 25 corps avaient été retrouvés emballés dans des sachets noirs. Une affaire qui avait ému toute la Côte d’Ivoire.