Depuis le début de l’épidémie, plus de 500 cas suspects de chikungunya ont été dénombrés en Guadeloupe. La majorité des cas, 65%, se situe à Baie-Mahault, foyer toujours actif. Mais 14 communes sont désormais concernées par la circulation virale.
Depuis le début de l’épidémie, plus de 500 cas suspects de chikungunya ont été dénombrés en Guadeloupe. La majorité des cas, 65%, se situe à Baie-Mahault, foyer toujours actif. Mais 14 communes sont désormais concernées par la circulation virale.
Entre le 23 décembre et le 26 janvier, il a été dénombré 545 consultations pour le syndrome cliniquement évocateur de chikungunya. Domactu indique que le nombre hebdomadaire a régulièrement augmenté au cours des trois dernières semaines.
Toujours selon le site, au cours de la quatrième semaine de janvier 2014, des cas confirmés et probables de la maladie de chikungunya ont été identifiés sur trois nouvelles communes. En outre, l’analyse de l’incidence cumulée indique que 14 communes sont maintenant concernées par la circulation virale.
La majorité de ces cas se situent toujours sur Baie-Mahault (65%), premier foyer de transmission locale identifié et qui, à ce jour, est toujours actif. Les autres cas sont situés sur l’agglomération pointoise, à l’est de Grande-Terre, au Nord et Sud Basse-Terre et sur la Côte-au-Vent. Aucun autre foyer actif de transmission n’a été identifié à ce stade.