Si le monde est aujourd’hui préoccupé par la pandémie du Covid-19, qui a secoué les grosses puissances comme la Chine, les Etats-Unies, l’Italie ou encore la France, au Bénin, la route fait d’énorme victimes. Ils seraient plus de 635 personnes tuées par an. Un chiffre un tout petit peu encourageant, puisque le pays tournait autour de 700 morts chaque année.
Dans l’émission « L’Entretien » de la chaîne de télévision E-Télé, le Directeur général du Centre national de sécurité routière (CNSR) au bénin a certifié les progrès enregistrés, ces quatre dernières années, sous le régime du Nouveau départ. Selon Aubin Adoukonou, de 700 morts par an, ce pays d’Afrique de l’ouest tourne, aujourd’hui, autour de 635 décès, malgré l’accroissement de la population. Ces progrès sont à mettre à l’actif des réformes mises en place par le gouvernement.
Au sujet des réformes, Aubin Adoukonoui, a informé que le Bénin dispose désormais d’un document de politique qui définit les actions à court, moyen et long termes, en matière de sécurité routière.
Pour ce qui est des perspectives, le numéro 1 du CNSR estime que pour atteindre zéro mort par accident, il faut non pas du temps, mais de la méthode et des moyens financiers. Raison pour laquelle, il a félicité le chef de l’Etat pour le projet Asphaltage qui permet de doter le pays de routes de type intelligent.
Des routes comme celle du Boulevard de La Marina qui permettront d’inverser la courbe des accidents et du coup réduire considérablement le nombre de morts sur les route béninoises. Pourquoi, mettre complètement fin à la série macabre enregistrée sur les chaussées.