Le géant médiatique américain « Bloomberg » prévoit la mort du Président algérien Abdelaziz Bouteflika parmi un ensemble de variables dont les effets pourraient être très nuisibles pour les intérêts des Etats-Unis d’Amérique.
Qu’adviendrait-il à la mort du chef de l’Etat algérien, Abdelaziz Bouteflika ? Surtout si ce décès survenait au cours de l’année 2016 ? C’est ce scénario qu’a envisagé le géant médiatique américain Bloomberg qui prévoit la mort du Président algérien Abdelaziz Bouteflika parmi un ensemble de variables dont les effets pourraient être très nuisibles pour les intérêts des Etats-Unis d’Amérique.
Selon Tout sur l’Algérie, Bloomberg, spécialisé en économie, a présenté à son public dix scénarios « catastrophes » pour 2016. Plusieurs projections sont présentées, selon le degré de probabilité et de gravité. Ces dix thèses sont caractérisées par leur pessimisme annonciateur d’un avenir morose pour le monde occidental.
L’un de ces scénarios porte sur une flambée des prix du pétrole en 2016. Bloomberg songeant à cette éventualité liée à une série d’événements néfastes : lancement par Daech d’attaques contre des infrastructures pétrolières clés, perturbation de la production mondiale par une recrudescence de violence dans le delta du Niger, un coup d’Etat au Vénézuela et, curieusement, le décès du Président d’Algérie, Abdelaziz Bouteflika.
Selon Bloomberg, la mort du Président Bouteflika en 2016 est comme une « catastrophe pour les Occidentaux ». Le géant médiatique prévoit la mort du chef de l’Etat parmi un ensemble de variables dont les effets pourraient être très nuisibles pour les intérêts des Etats-Unis. « Les cours du pétrole augmenteront fortement et l’OPEP ne pourra pas augmenter sa production pour contrecarrer ces effets », prévoit le groupe médiatique, qui envisage dès lors une hausse du prix du baril du pétrole qui atteindrait la barre des 100 dollars.
Dans son échelle de probabilités et de gravité, Bloomberg a indiqué que ce scénario connaît une probabilité de 3/10 et une gravité de 7/10.