Selon une enquête du New York Review of Book, il existerait de nombreuses zones d’ombres dans l’affaire Nafissatou Diallo qui a entraînée la chute de l’ancien Président du FMI, Dominique Strauss-Kahn pour viol et agression sexuelle.
«Nous ne pouvons désormais plus exclure que Dominique Strauss-Kahn ait été la cible d’une entreprise délibérée visant à le détruire politiquement», a déclaré William Taylor un des avocats de M. Strauss-Kahn selon Le Figaro.
Il demande à Accor (groupe à qui appartient le Sofitel de New-York ou l’affaire s’est déroulée) «d’apporter des explications complètes».
Le «BlackBerry FMI» de DSK aurait pu être piraté et il aurait disparu le 14 mai 2011, jour ou le scandale a éclaté.
Selon cette source, une « amie » de DSK l’aurait informé le matin qu’elle avait découvert que l’UMP (parti de Nicolas Sarkozy) avait accès aux informations de ce téléphone privé.
D’autres anomalies sont soulevées par les avocats de DSK concernant le comportement étrange de certains employés de l’hôtel ainsi que l’absence de renseignements sur le « client » de la suite voisine ou Nafissatou Diallo est passée trois fois dans la matinée, avant et après la possible agression sexuelle.
L’UMP a démenti fermement l’ensemble de ces allégations.