En marge de la célébration, ce vendredi, de l’An de la chute de leur leader Laurent Gbagbo, le Front populaire ivoirien (FPI) a accusé « la France d’avoir assassiné la démocratie » en Côte d’Ivoire.
En marge de la célébration, ce vendredi, de l’An de la chute de leur leader Laurent Gbagbo, le Front populaire ivoirien (FPI) a accusé « la France d’avoir assassiné la démocratie » en Côte d’Ivoire.
Le Front populaire ivoirien (FPI) a célébré ce vendredi l’An 3 de la chute de Laurent Gbagbo, par des témoignages et des chants. La cérémonie s’était déroulée au siège du parti, dans la commune de Cocody, à l’Est d’Abidjan.
Selon le Dr Augustin Guéhoun, Secrétaire national chargé de la Communication et du marketing politique du FPI, le 11 avril est « un jour de prières pour nous requinquer et nous redonner la vitalité ». Dans un entretien à APA en marge de cette commémoration une, le SG a dénoncé une « dictature incompréhensible » du chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara, relève APA.
« Pour la France qui a assassiné la démocratie dans ce pays, les choses vont bien, mais pas pour la Côte d’Ivoire » où l’opposition « n’a pas droit aux médias d’Etat (…), rien ne va », a poursuivi Dr Augustin Guéhoun.
Laurent Gbgabo séjourne actuellement à la prison de la Haye où il a été récemment rejoint par un de ses lieutenants, Charles Blé Goudé.