
La société Bourbon aurait payé une rançon de 150.000 dollars ( 109.000 euros) aux ravisseurs de ses trois employés enlevés au Nigeria en septembre et libérés mercredi, affirmait jeudi le site lepoint.fr. Interrogée par l’AFP, la société a refusé de commenter cette information. « D’autres otages sont actuellement en captivité et bien évidemment on ne donne aucun élément ni concernant les modalités opératoires, les rançons ou le mode de transaction », s’est borné à déclarer un porte-parole. « A notre connaissance, les autorités françaises ont suivi les négociations, mais elles n’y ont pas directement participé », indique le site internet de l’hebdomadaire. Les trois otages ont atterri ce vendredi en France, à 05H48, à l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle, a indiqué à l’AFP une source aéroportuaire.